Il découvre le documentaire en essuyant les bancs de la faculté d’ethnologie de l’université de Strasbourg.
Il fait ses premières armes sur des tournages avec ses potes, trois bouts de ficelles et une bonne dose de défis.
Il devient un peu cinéphile au Bilan du film ethnographique et au Cinéma du Réel.
En curieux, il s’intéresse un temps à la programmation et à la production pour finalement suivre un rêve qu’il ne s’était pas permis : intégrer une école de cinéma, l’ENSAV.
Ne voulant pas mettre au placard l’immense plaisir et la stimulation intellectuelle des premiers tournages, il est resté à Toulouse où il a rencontré les Zooms Verts.