Formé à l’architecture et aux arts plastiques, se porte dans les années 80 sur une réflexion esthétique et sociale concernant à la fois l’urbain et le politique.
Et peu à peu la conscience de l’omniprésence des langages et de la typographie le pousse à travailler essentiellement dans le graphisme d’utilité publique.
Archiviste au bord de la pathologie, croit par ailleurs que le cinéma doit se nourrir des manifestations linguistiques et graphiques qui nous entourent pour exister. Séduit par la radicalité des Zooms Verts dès leur création, il y travaille sur du documentaire animé et du générique ; il ne s’en éloignera épisodiquement que pour faire de la musique et cultiver des esperluettes en plein champ.